Soutenez les patients de l’hôpital Raymond-Poincaré AP-HP

L’innovation, la recherche, l’excellence et l’amélioration du confort des malades sont des priorités dont les résultats sont décuplés par les fonds additionnels collectés dans le cadre des actions de mécénat de l’Hôpital Raymond-Poincaré AP-HP. En complément des financements publics, les dons permettent d’aller plus vite et plus loin.

Ainsi, l’hôpital a besoin du soutien de la communauté Garchoise : à titre individuel ou au nom de son entreprise, chacun peut faire un don déductible des impôts.

Les dons sont déductibles à 66% de l’impôt sur le revenu dans la limite de 20% du revenu imposable, à 75% de l’impôt sur la fortune immobilière dans la limite de 50 000€ du revenu imposable et à 60% de l’impôt sur les sociétés dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaire.

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L’Hôpital Raymond-Poincaré AP-HP est un lieu où les patients petits et grands dessinent leur avenir autour du handicap, au cœur d’un écosystème d’excellence cultivant expertise, humanité et esprit pionnier. Leurs parcours n’ont rien de commun mais racontent la même histoire, celle d’un destin chamboulé ou d’un avenir teinté d’inconnu qu’ils apprivoisent entre les murs de l’hôpital, un établissement offrant un modèle unique de prise en charge pour les pathologies du handicap neuro-locomoteur, reconnu bien au-delà du territoire national. Parmi eux, Joe, hospitalisé dans un des services de pédiatrie :

Joe, 10 ans, déboule comme un bolide dans le pavillon Brézin et ses services de pédiatrie, dont l’hôpital de jour jouxte l’école EREA qu’il fréquente depuis quelques semaines. Joe pilote son fauteuil motorisé avec la dextérité des habitués. Il faut dire qu’il n’a pas trop le temps : dans une heure, il devra être de retour en classe. Mais avant de retrouver ses copains, son programme est chargé : kinésithérapie, oxygénothérapie et ergothérapie.

La kinésithérapeute l’installe, lui retire son corset et démarre ses soins en bavardant avec Joe dont la voix fluette devient rieuse quand la conversation vire au ballon rond. Comme tous les enfants, Joe a les yeux qui brillent à l’évocation des stars du PSG. D’ailleurs, il a mis au défi son ergothérapeute de l’aider à jouer au babyfoot avec ses copains de l’EREA, un modèle d’école adaptée pour allier soin et enseignement. La séance est donc consacrée à chercher des solutions pour que Joe puisse attraper et tourner les poignées d’un mini-babyfoot. Sans succès pour le moment, mais ce n’est que partie remise : ni l’un, ni l’autre n’a l’intention d’abandonner un si beau projet.

Dans la cour de l’école, Joe est attendu par ses camarades : on lui court après, on l’interpelle, on rit. C’est un petit garçon plein de vie, vif, intelligent, qui aime rire et jouer, comme tous les autres, une timidité empreinte de politesse, d’un peu de gravité mais aussi d’une véritable sagesse. Joe s’est fait à l’hôpital Raymond-Poincaré une place de choix, qui lui permet de vivre pleinement et sereinement son enfance malgré son handicap.